Миликриса
(с плачем)
Нещастнейший Фарнос, я и тебя лишилась!
Долгомуд
Лишился друга я, и часть его свершилась.
Миликриса
О день, горчайший день, источник лютых бед,
Князь вечно погублен, Фарноса больше нет!
Пожри всей лютостью меня живую, бездна!
Рази, губи: мне жизнь без ебли бесполезна!
Конец трагедии
Дополнения
A. Piron. Ode a Priape *
Foutre des neuf garce de Pinde
Foutre de l'amant de Daphne
Dont le flasque vit ne se guinde
Qu'a force d'etre patine;
Cest toi que j'invoque a mon aide,
Toi qui dans les cons, d'un vit roide,
Lance le foutre a gros bouillous;
Priape, soutiens mon haleine
Et pour un moment dans ma veine
Porte le feu de tes couillous.
Que tont bande, que tont s'embrasse
Accourez Putins et Ribauds
Que vois-je, ou suis-je, la douce extase
Les Cieux n'ont pas Pobjet si beaux.
Des couilles en bloc arrondies
Des cuisses fermes et bondies
Des bataillons de vits bandes
Des culs rondes sans poils et sans crottes
Des cons, des tettones et des mottes
D'un torrent des foutres inondes.
Restez adorables images,
Restez a jamais sous mes yeux
Soyez l'objet de mes hommages
Mes Legislateurs et mes Dieux,
Qu'a Priape on eleve un Temple
u jour et nuit Ton vous contemple,
Au gre des vigoreux Fouteurs
Le foutre у servira d'offrandes
Les poiles de couilles de guirlandes
Les vits de sarificateurs
Aigle, Baleine, Dromadaire,
Insecte, animal, homme, tout
Dans les Cieux, sous Геаи, sur la terre,
Tous nous annonce q'on fout;
L'on foutre tombe comme grele,
Raisonnable ou non, tout s'en mele
Le con met tout les vits en rut;
Le con du bonheur est la voie
Dans con git tout la Joie
Mais hors de con point de salut.
Quoique plus gueux qu'un Rat d'Eglise
Pourvu que mes couillous soient chauds
Et que le poil de mon cul frise
Je me fut du reste en repos.
Grandes de terre on se trompe
Si Ton croit que de votre pompe
Jamais je puisse etre jaloux
Faites grands bruit, vives au large
Quand j'enconne et que je decharge
Ai-je moins plaisir que vous.
Que Tor, que l'honneur vous chatouille
Sots avares, vains conquerans
Vivent les plaisirs de la couille
Et foutre les biens et les rangs.
Achilles aux rives du Scamandre
Pille, detruit, met tout en cendres
Cest n'est que feu, que sang, qu'horreur,
Un con paroit, passe-t-il outre?
Non, je vois bander mon jean-foutre
Le heros n'est plus qu'un Fouteur
De Fout la fable fourmille
Le Soleil fout Leucothoe
Cynire fout sa propre fille
Un Taureau fout Pasiphae
Pygmalion fout la statue
Le brave Ixion fout la nue
On ne voit que foutre couler
Le beau Narcisse pale et bleme
Brulant de se foutre lui-meme
Meurt en tachant de s'enculer.
Socrate, dires-vous: се sage
Dont on vante l'esprit divin
Socrate a vomi peste et rage
Contre le sexe feminin
Mais pour cela le bon Apotre
N'en n'a pas moins foutu qu'un autre
Intrepretons miens ses lemons,
Contre le sexe il persuade,
Mais sans le cul d'Alcibiade
Il n'eut pas tant medit des cons.
Mais voyons ce brave Cynique,
Qu'un bougre a mis an rang des chiens
Se branler gravement la pique
A la barbe des Atheniens
Rien ne l'emeut, rien ne l'etonne
L'eclair brille Jupiter tonne
Son vit n'en est point demonte
Contre le Ciel sa tete altiere
Au bout d'une courte carriere
Decharge avec tranquilite
Cependant Jupin dans l'Olympe
Perce des culs, boure des cons,
Neptune au fond des eaux у grimpe
Nymphes, Syrenes et Tritons;
L'ardent fouter de Proserpine,
Semble dans sa couille divine
Avoir tout le feu d'enfers
Amis, jouons les memes farces,
Foutons tant que les cons des Garces
Nous foute enfin Tame a l'envers.
Tysiphone, Alecto, Megere
Si Ton foutoit encore chez vous
Vous Parques, Charon et Cerbere
De mon vit vous tatierez tout.
Mait puisque par un sort barbare
On ne bande plus au Tenare,
Je veux у descendre en foutant,
La mon plus grand tourment sans doute
Sera de voir que Pluton foute
Et de ne pouvoir faire autant
Redouble done tes infortunes
Sort, foutu fort, plein de rigeur
C'est n'est qu'a des ames communes
A qui tu peux foutre malheurs.
Mais la mienne que rien n'alarme
Plus ferme que le vit d'un carme
Se rit des maus present, passe
Qu'on m'abhorre, qu'on me deteste
Que m'importe, mon vit me reste
Je bande, je fous, c'est assez.